L’Ifpen fait rimer innovations et solutions

L’unité pilote Ifpen construite en 2012, a été opérée tout au long de l’année 2013 pour permettre de démontrer les performances des procédés de captage de CO2, notamment du procédé DMX, dit de deuxième génération, basé sur l’utilisation de solvants démixants.

Publié le 26/01/2022

7 min

Publié le 26/01/2022

Temps de lecture : 7 min 7 min

À Solaize, à quelques kilomètres de Lyon, au cœur de la vallée de la chimie, l’Institut français du pétrole et des énergies nouvelles (Ifpen) multiplie les innovations, de la recherche fondamentale aux solutions technologiques, qui permettront demain de décarboner l’industrie, la mobilité et de manière plus générale de limiter l’impact de nos activités sur le climat et l’environnement. Pour accompagner la transition énergétique, l’Ifpen accentue ses efforts, notamment pour industrialiser dès 2023 un moteur thermique à l’hydrogène et multiplie les initiatives et les projets pour construire une filière française du stockage et captage de CO2.

Laura Icart, envoyée spéciale à Solaize

 

En 2020, l’Ifpen a déposé 175 brevets, dont 105 concernés les nouvelles technologies de l’énergie (NTE), se classant parmi les trois premiers organismes de recherche français. Désormais, 67 % de ses activités sont fléchées vers les NTE avec un objectif : accélérer le développement de filières industrielles vertes et d’une mobilité plus durable. Sur cette voie, les travaux de recherche menés par l’Ifpen dans le domaine du stockage, du captage et de la valorisation du CO2 (CCUS) seront essentiels « pour accompagner les industriels dans la décarbonation de leurs procédés de production et éclairer le débat…

Cet article est réservé aux abonnés de Gaz d'aujourd'hui, abonnez-vous si vous souhaitez lire la totalité de cet article.

Je m'abonne